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Est-il possible d’aider à l’apprentissage de la langue arabe

Est-il possible d’aider à l’apprentissage de la langue arabe


الونشريس

Bonjour, je suis Savannah, je veux apprendre la langue arabe d’origine algérienne Aopalohry ton S’il vous plaît contribué un mot de m’aider, je parle 3 langues espagnole, portugaise, française, et je ne vais pas apprendre l’arabe




رد: Est-il possible d’aider à l’apprentissage de la langue arabe

شكررررررررررررراً





ok je peut t’aider

par exemple fi djazair ça veut dire à l’algérie




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اللغة الفرنسية للسنة الأولى متوسط Fancais 1AM

Stp plus vite possible

Stp plus vite possible


الونشريس

SLT JE VEUX COMP 3°TRIMESTRE 1° AM (TEXTE PRESCRIPTIF




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اللغة الفرنسية للسنة الثانية متوسط Fancais 2AM

Stp plus vite possible

Stp plus vite possible


الونشريس

slt je veux comp 3°trimestre 2° am
une légende




رد: Stp plus vite possible

Loin, loin, en Laponie, là où il fait froid toute l’année, vivait une très pauvre femme.
Elle avait quatre enfants désobéissants et très méchants qui ne songeaient qu’à courir et à
jouer du matin au soir.
Ils rentraient souvent trempés, avec des mottes de neige collées à leurs bottes. Et la
pauvre mère devait balayer, essuyer, faire sécher leurs vêtements. Jamais ils ne lui apportaient le bois pour son feu, ni l’eau pour faire la soupe. La pauvre femme peinait et se fatiguait sans cesse. Et un jour, elle tomba malade. Couchée dans la yourte, elle appelle ses enfants: enfants, donnez-moi à boire. Allez chercher un peu d’eau, je vous prie.
Mais les enfants n’écoutent pas et continuent à jouer. Puis l’aîné eut faim et retourna à
la yourte. Et là, il vit sa mère, transformée en oiseau. Elle bat des ailes puis s’envole.
Les enfants courent derrière leur mère et l’appellent: attends, mère attends! Nous te
porterons de l’eau. Mais la mère réponds: coucou! Coucou! Je n’ai plus besoin de vous! Lacs et rivières m’offrent leur eau.
Longtemps, les enfants coururent appelant leur mère , mais il était trop tard .Et c’est
depuis ce temps, dit-on, chez les Lapons, que le coucou ne se construit pas de nid et n’élèvepas ses petits.
Natha Caputo- « La légende du coucou »
Contes des quatre vents.
Une yourte: habitation des Esquimaux.
I/ COMPREHENSION DE L’ECRIT :13 points
1) Où raconte t-on la légende du « coucou »?
2) Complète le tableau suivant en t’aidant du texte.
Les personnages Relation familiale Comment ils sont décrits

3) Dans cette légende le « coucou » est: a/ un animal; b/ un oiseau; c/ un être humain.
Recopie la bonne réponse.
4) Recopie les phrases puis réponds par vrai ou faux.
a/ En Laponie, il fait chaud en été.
b/ Une femme vivait seule dans une yourte.
c/ La pauvre femme travaillait dur et se fatiguait beaucoup.
d/ Les enfants ont perdu leur mère à cause de leur désobéissance.
5. Dans la dernière partie du texte, on explique la légende.
Cette explication est : a/scientifique, b/ légendaire, c/ scientifique et légendaire en
même temps.
Recopie la réponse juste.
6) Relève le connecteur (l’articulateur) qui marque la fin de l’histoire.
7) Recopie les verbes transitifs.
« vivait, appelle, peinait , se fatiguait, courent, élève. »
8) Complète à l’aide d’un Groupe Prépositionnel complément de nom.
« La mère ……….travaillait jour et nuit. »
II/ SITUATION D’INTEGRATION : 7 points
Imagine une autre fin à cette histoire.




رد: Stp plus vite possible

des hommes étaient en voyage. En chemin, ils s’arrêtèrent chez des anthropophages
Quand ceux-ci les virent la nuit, ils se mirent à se réjouir, les saisirent tous et les emprisonnèrent dans des cages de fer, deux par deux dans chaque cage.
La nuit et le jour, à chaque moment, ils leur donnaient à manger. Quand ils furent bien gras, ils en mangèrent trois.
Une nuit que les anthropophages dormaient, un des prisonniers, qui était avisé, chercha un moyen de sortir avec ses compagnons.
Quand il eut fait un trou par où pouvaient sortir deux hommes, tous s’évadèrent.
Le bruit du fer réveilla les gens qui se mirent à leur poursuite avec leurs lions et leurs serpents. Ils les reprirent tous, excepté deux, parmi lesquels était l’avisé.
Ceux-ci parvinrent à s’échapper parce que, en entendant les anthropophages sur leurs traces, il avait construit une hutte d’herbes où ils s’étaient cachés, de sorte que personne ne les vit.
Quand leurs ennemis furent partis, ils enlevèrent l’herbe et s’endormirent. ***192; son réveil, l’avisé s’aperçut qu’un lion avait dévoré son compagnon. Il demeura stupéfait et effaré jusqu’à ce qu’il fût sorti de l’antre du lion et s’enfuit.
Il aperçut une tente au loin, vers laquelle il se dirigea ; il y vit une femme qui lui dit : « Sois le bienvenu et le bien accueilli. »
Puis elle l’invita à s’asseoir sur une natte, sous laquelle était dissimulé un trou. Quand l’avisé se fut assis, la femme tira la natte par-dessous, et l’homme tomba dans un puits.

Il resta là jusqu’à l’arrivée du maître de la tente, portant deux hommes qu’il avait égorgés. Sa femme lui raconta ce qu’il s’était passé avec l’avisé puis ajouta : « Va le tuer aussi, il est plus gras qu’eux. »
Mais le prisonnier saisit le maître de la maison par ses longues tresses et le tua.
Contrefaisant sa voix, il demanda à la femme de le faire remonter. Celle-ci obéit, croyant qu’il s’agissait de son mari.
***192; la vue de l’avisé, elle fut prise de terreur. Celui-ci l’obligea à lui livrer tout ce qu’ils possédaient en fait d’ornements, d’argent, de parures, d’esclaves, de chameaux, de moutons et de brebis.
Elle lui donna tout cela et il put revenir vers les siens.