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le rap

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الونشريس

Introduction :

Diffénition éfini par les académiciens comme un "style musical accompagnant un rythme martelé de paroles improvisées ou écrites", le rap est, avant tout une sous-division de ce que l’on désigne comme le hip-hop, un mode de vie dont la musique est la partie immergée de l’iceberg.

En plus des DJ, qui fournissent les musiques, et des MC, qui débitent des textes, le hip-hop regroupe des activités comme la danse (break, smurf…) et la peinture (graffiti, tag) mais est aussi régi par des codes vestimentaires et comportementaux influents.

Conçu par et pour le ghetto noir américain, le rap est avant tout une musique basée sur une constante innovation, sur un refus de toute institutionnalisation ; une musique où l’originalité est un facteur déterminant pour se faire connaître. Pour créer un "buzz" autour de son nom, il est primordial d’arriver dans les bacs avec un concept inédit, un nouveau flow, un nouveau type de musique… Les artistes ayant basé leur carrière sur une constante mise à jour de leur niveau face à l’évolution rapide de la concurrence et sur une intégrité à toute épreuve sont les seuls à avoir gardé une certaine longévité artistique.

Dans cet exposé, nous nous emploierons à faire tout d’abord une étude chronologique de l’apparition et du développement du rap aux Etats-Unis puis le rap algérien et l’artiste le plus famous lotfi double kanon.

Sommaire :

1-introduction

2-les origines et les influence

3-l’age d’or

4-l’evolution du rap de nos jours

5-la différence entre le rap et le hip-hop

4-les différents styles de rap

7-le rap africaine

8-le rap algérien(l’histoire de rap algérien)

9-lotfi double kanon

· Biographie

· L’histoire de lotfi double kanon

· Ses diplômes

· Ses albums

· Conclusion

Les origines et les influences :

Le rap semble formellement se rapprocher de la culture africaine dont se réclame le mouvement hip-hop. Le chant scandé du MC évoque en effet le griot, poète et musicien qui chronique la vie quotidienne ou est invité à chanter lors des célébrations (par exemple un mariage). De même, le retour à une musique essentiellement basée sur le rythme plus que sur la mélodie ramène aux polyrythmies de percussions africaines.

Une grande partie des premiers DJ et MC est d’origine jamaïquaine. Les sound systems jamaïcains, et la pratique du talk-over, ont donc eu un rôle dans l’apparition du rap dans les ghettos Noirs américains.

L’âge d’or

Le milieu des années 1980 est désigné comme l’âge d’or du rap. ***192; New York, la guerre des crews (équipes) se termine. Les crews réunissaient des rappeurs (souvent des dizaines) du même quartier, réunis autour d’un producteur charismatique. Le plus célèbre était le Juice Crew de Queensbridge, emmené par le célèbre Marley Marl à qui est attribuée l’invention du sampling (échantillons extraits d’autres morceaux puis inclus dans les boucles). Le Juice Crew a fait de nombreux beefs (luttes) avec les lyricists (paroliers) des autres quartiers. Par exemple, KRS-One, du South Bronx, a défié le Juice Crew par chansons interposées dont le célèbre The Bridge is Over qu’il est venu chanter devant eux dans une salle de Queensbridge.

L’âge d’or, c’est donc l’émergence à New York des duos DJ-MC comme Gang Starr (DJ Premier et Guru), Eric B & Rakim ou Pete Rock & CL Smooth qui continuent l’œuvre de Marley Marl ; et en Californie d’une nouvelle scène Gangsta avec surtout les NWA.

***192; Los Angeles le groupe de rap NWA est fondé par Dr Dre, Ice Cube, Eazy-E, Mc Ren et Dj Yella en 1986, il sévit jusqu’en 1991 après avoir révolutionné le rap. En effet, alors que le rap new-yorkais produit un rap teinté de soul et de jazz à tendance consciente, les NWA créent le gangsta rap, musicalement très inspiré du p-funk. Il s’agit de raconter leur vécu : les violences policières, les guerres de gangs, et de représenter leur ville Compton. Leur album "straight outta compton" est classé comme un monument du hip-hop. Ce groupe permet à la scène rap de la côte ouest d’avoir une visibilité médiatique. Cela est plutôt réussi puisque jusqu’au milieu des années 1990, le rap de Los Angeles domine[réf. nécessaire] l’actualité hip-hop (avec les premiers albums solos de Dr Dre en 1992, de 2pac en 1991, de Snoop Dogg en 1993, Tha Dogg Pound composé de Daz Dillinger et Kurupt en 1995, etc.) pendant toute cette période avec le Gangsta rap et le G-funk (sample de funk de la côte ouest).

Mais le rap de l’est ne baisse pas les bras en sortant des albums de rap pendant cette même période. Se font connaître des artistes issus du Juice Crew comme NAS avec Illmatic en 1994, Mobb deep (The Infamous en 1995), le Wu Tang Clan en 1993 avec Enter the Wu tang 36th Chambers, The Notorious B.I.G. en 1994 avec Ready to die. New-York produit un rap bien plus sombre faisant le récit de la dure réalité des rues du Queens, du Bronx et de Brooklyn. C’est Puff Daddy qui révolutionne une nouvelle fois le rap new-yorkais en mettant un peu de fête et en samplant de la funk qui permet à Notorious B.I.G. d’avoir une énorme couverture médiatique et de rivaliser avec les rappeurs de Los Angeles.

Il s’ensuivra d’ailleurs une guerre entre l’est et l’ouest des ***201;tats-Unis due à la rivalité entre 2Pac et Notorious B.I.G.. Celle-ci se termine par la mort prématurée des deux protagonistes, assassinés en 1996 pour le premier et en 1997 pour le second. Cette date marque la fin d’une époque pour le hip-hop old schoo

L’évolution du rap de nos jours :

S’il est bien issu des populations noires américaines, le rap s’est démocratisé dès le début des années 1990 pour toucher également les populations blanches dont provient une part croissante des créateurs de rap, l’exemple le plus connu étant Eminem. Plus récemment, les pays asiatiques et africains ont également développé leurs propres scènes rap.

Ainsi devenu un courant musical mondial très à la mode, le rap génère d’importants flux d’argent. Des radios spécialisées sont apparues mais privilégient les artistes « grand public » dont la promotion est assurée par les majors et aboutissent à une certaine homogénéité au détriment des artistes indépendants. Certains font remarquer que le rap est depuis le début une musique grand public qui, comme tous les genres, contient en son sein des artistes commerciaux et d’autres plus indépendants et peut-être plus créatifs.

Les évolutions du rap sont nombreuses. On peut parler par exemple de hip-hop instrumental ou abstract hip-hop (Dj shadow, RJD2, Big Dada, DJ Krush), une musique très élaborée qui se base sur la rythmique hip-hop. Le rap s’inspire et se mélange aussi aux autres genres jusqu’à brouiller les frontières : rock et métal avec la fusion et le rapcore, trip-hop avec l’abstract hip-hop, musiques traditionnelles ou encore électroniques.

Jean-Baptiste Vieille du magazine musical Tsugi, remarque que Kanye West avec 808s and Heartbreak a permis l’émergent du « rappeur vulnérable », qui s’est ainsi substitué à la fin des années 2000 « au modèle viril incarné par 50 Cent »[5]. Il explique que « la où le rap raconte habituellement des histoires d’ascension, du bas vers le haut, la nouvelle génération fait le chemin inverse » à l’image de Drake qui à peine décoller « contemple déjà sa réussite avec lassitude .

La différence entre le Rap et le hip-hop

Le rap est un mode d’expression alors que le hip-hop est un mouvement culturel et artistique qui regroupe quatre principaux modes d’expression[6]:

  • Le rap
  • Le deejaying dont le beatbox est une sous-branche
  • La danse
  • Le graffiti

Ces modes d’expression artistique existaient séparément avant la création du mouvement hip-hop. Réunis dans les années 1970, ils donnèrent naissance à un réel état d’esprit avec ses propres codes : des valeurs, des attitudes, un style vestimentaire et des cultures urbaines.

Les différents styles de rap

  • Crunk
  • Devil Shyt
  • Dirty South
  • Freestyle
  • Gangsta Funk (ou G-funk)
  • Gangsta rap
  • Grime
  • Hyphy
  • Jazz rap
  • Midwest Rap
  • Pimp Rap
  • Pop-rap
  • Rap celtique
  • Rap chrétien
  • Rap East Coast
  • Rap hardcore
  • Rap old school
  • Rap West Coast
  • Rap politique (ou rap conscient)
  • Snap Music

Le rap afriquaine :

Certains pays ont une influence francophone (Mali, Sénégal, Tunisie, Maroc, Algérie, Guinée, Burkina Faso,Bénin, Maroc, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, etc.) et d’autres une influence anglophone (Nigeria, Ghana), ces influences n’empêchant pas une identité africaine propre dans les rythmes et les flows au slang particulier.

On assiste depuis quelques années à l’émergence de pays comme le Gabon avec des acteurs tels que Movaizhaleine, Ba’ponga, Lestat XXL, Lord Ekomy Ndong ***9765; ou encore Secta’a. Déjà au début des années 90 le groupe V2A4, pionnier en Afrique sortait le tube "AFRICAN REVOLUTION" qui peut être considéré comme le premier 45 tour de l’histoire du hip-hop africain. De même Libreville abritait déjà le grand mouvement des "Rappeurs De La Cote Ouest Africaine", initié par Arcad animateur sur Africa numéro 1. Aujourd’hui le pays abrite des évènements hip-hop parmi les plus grands du continent africain tels que La Nuit De La Musique, le Bantou ****, le Show Du Pays ou le Gabao hip-hop qui voient défiler chaque année les stars du hip-hop mondial.

Le rap algérien :

L”’HISTOIRE DU RAP ALGERIEN .

Le rap Algerien apparait au milieu des année 80,notamment avec Hamidou qui signe Jawla fel lil.Plusieurs groupe voient ensuite le jour a la fin des années 80, la plupart sont d’Alger, la capitale.
Le rap Algerien ne prend de l’empleur qu’à le fin des années 90 à cause de la censure et du manque de moyen financier.
Des radios locales et nationnales vont ensuite passer sur leur ondes quelques titres rap du pays ce qui contribuera à sa popularisation.
Des clip sont même diffusés par des télévisions régionales et nationnales.
Notons parmis les nombreux groupes:Lotfi DK , MBS , Apoca , T.O.X , Karim Gangboy , Abdou Cars , Azzou , Faysal , Yousse , 3eme oeil , Lil k , siiminov …………….. Et la liste ouverte.

Le Rap Algérien est composé de plusieurs artistes tels que les pionniers MBS, Hamma Groupe… Mais le plus connu est sans doute le rappeur Lotfi du groupe Double Kanon, qui est l’un des groupes à avoir vendu le plus d’albums au Maghreb. ***192; la suite d’une dispute entre Lofti et Wahab, Lotfi se lança dans une carrière solo extraordinaire ponctué par des albums d’une qualité irréprochable.

Lotfi double kanon :

Biographie de Lotfi Double Kanon :

Lotfi est né le 06/07/1974 à Annaba, d’un père ouvrier est d’une mère au foyer. Il a grandi dans une famille modeste composée d’un frère et de deux sœurs.Tous diplômés universitaires. Milieu de création et de motivation qui lui inculqua toute la soif du savoir.

Les revenus modestes de sa famille l’ont motivé à se prendre en charge dès son jeune âge; C’est pourquoi pour s’offrir son premier instrument "synthétiseur", il a dût se débrouiller des petits boulots d’été.

Lotfi réalisa des maquettes avec un matériel très archaïque pour se présenter à la radio locale et se faire connaître dans le milieu artistique.

L’histoire de lotfi double kanon :

L’un des premiers groupes de rap d’Algérie a fait son apparition dans la ville d’Annaba au cours de l’année 1996. La disparité des phénomènes sociaux culturels du pays a inspiré le groupe. La jeunesse, le chômage, la corruption, la drogue sont les principaux thèmes ayant inspiré un nouveau style de musique typiquement algérien nourri du Hip-Hop et du Rhythm and blues. La consécration de Lotfi Double Kanon est venue au travers de ces textes qui reflètent les sentiments enfouis profondément dans les esprits d’une jeunesse marginalisée.

Ces chansons sont devenues hymne ayant accroché une masse de gens de tout âge qui cherchait depuis longtemps un moyen d’expression et d’identification propres à elles. Lotfi double canon a ainsi réussi à canaliser toute cette énergie refoulée au fond de la jeunesse algérienne et de l’exprimer par de textes simples et crus du terroir algérien.

Le succès ne tarda pas à venir couronner les efforts d’un groupe plein d’espoir et d’optimisme envers des lendemains meilleurs. En un temps très réduit, le groupe a offert à son public un nombre important d’œuvres d’une qualité artistique en nette amélioration de titre en titre lui valant une reconnaissance des jeunes et des professionnels du milieu. Depuis 1997, date de la parution de son premier album " Kamikaz " en décembre 1997, le groupe a mis sur le marché sept albums, six productions, quatre clips et plusieurs apparitions sur toutes les scènes d’Algérie pour un public de plus en plus nombreux.

Lotfi, cet autodidacte musical est l’auteur compositeur et interprète de ces propres œuvres. Ses arrangements et ses textes ; il les tire du quotidien de son pays si riche en inspiration. Sa situation sociale de jeune issue d’une famille modeste lui a permis d’être proche des vérités de son public qui reconnaît en lui le porte drapeau d’une jeunesse en proie d’une identité et d’un moyen d’expression libre. " Il ne parle que de ce qu’il voit " est le leitmotiv repris lors de toutes ces interviews. N’a t’on pas dit que: " le poète est le témoin de son temps ".

Les revenus modestes de sa famille l’ont motivé à se prendre en charge dès son jeune âge ; c’est pourquoi pour s’offrir son premier instrument " synthétiseur ", il dût se débrouiller des petits boulots d’été. Lotfi réalisa des maquettes avec un matériel très archaïque pour se présenter à la radio locale et se faire connaître dans le milieu artistique.

Son deuxième pas sera son passage sur les scènes Annabi pour présenter au public ce nouveau style de musique algérienne.

Son deuxième pas sera son passage sur les scènes Annabi pour présenter au public ce nouveau style de musique Algérien. Le résultat fut immédiat et beaucoup de jeunes s’identifièrent en Lotfi comme porteur de leur message.

Ses diplômes :

-Baccalauréat série Mathématiques en 1992 à Annaba.
-Ingénieur d’état en géologie 1998 de l’université d’Annaba.

tous les albums de Lotfi double kanon :

1999 : La Kamora Vol.1

2000 : La Kamora Vol.2

2001 : Break Dance

2002 : Bad Boy

2003 : Dangereux

2003 : Virus, l’épidémie du mal

2004 : Kobay

2005 : Remix

2007 : Kamizole

2008 : Kauchmar

2009 : Klemi

2010 : Remix 2022

Conclusion :

Cri de colère et de célébration, le rap est devenu en l’espace d’une vingtaine d’années la bande-son de toute une jeunesse en quête d’une nouvelle identité, grâce à l’acharnement de quelques passionnés. Censuré, boycotté par les radios, le rap, du fait de son constant renouveau et de sa fraîcheur, a pourtant su s’imposer comme la dernière alternative à une musique populaire formatée et vide de tout contenu. Il est, en effet, l’expression directe des incertitudes de cette fin de siècle. Cette tchatche hargneuse et poétique assenée comme une série d’uppercuts est devenue le symbole de "l’anti-langue de bois". De Cuba à l’Algérie, en passant par la Pologne, le Japon, l’Afrique Noire ou le Canada et surtout par la France, elle s’est répandue et s’est imposée comme le dernier moyen d’expression libre de toute une jeunesse en manque de repères et d’idéal. On peut, de plus, penser que son expansion va continuer encore un bon bout de temps car un peu partout dans le monde les difficultés subsistent. Par ailleurs, d’ici peu toute une génération ayant baigné dans un univers musical rapologique va arriver à la consommation et faire à coup sûr encore augmenter les chiffres de vente de cette musique.

L’ironie du sort est que les musiques, qui étaient auparavant abondamment "pillées" par les rappers, essayent aujourd’hui d’intégrer le rap à leur schéma rythmique. On ne compte plus les groupes de fusion rock ayant incorporé la composante rap à leur maelstr***246;m électrique (Rage Against The Machine, Red Hot Chili Peppers…). De même, George Clinton et Prince, deux des dieux du Funk parmi les plus samplés, ont très vite pris en compte l’influence du rap pour leurs compositions. Même des artistes plus pop ont compris son importance ; Texas et Bj***246;rk faisant ainsi appel aux talents de remixeur de The Rza du Wu-Tang Clan quand Tricky convoquait Muggs de Cypress Hill. Dans une démarche artistique plus poussée, de jeunes jazzmen comme Steve Coleman, Erik Truffaz ou Branford Marsalis ont intégré des rappers à leurs formations, intéressés par le travail rythmique et les capacités d’improvisation de ceux-ci. Malgré une longue période d’acceptation, on constate que le rap est désormais considéré par les musiciens eux-mêmes comme un genre musical majeur.

Cependant, il convient de remarquer que, malgré tous ces métissages, le rap compte bien garder son intégrité et son regard critique vis-à-vis de la société. La nation rap est ainsi régie par des règles intangibles (attitude, look, tabous) mais scrupuleuses qu’il convient de ne jamais transgresser sous peine de s’en voir exclu. Par ailleurs, même s’il paraît au premier abord facile à pratiquer, le rap n’est ouvert qu’à ceux qui savent débrider leur imagination dans le moule rigide de la rime et du rythme ; aux chroniqueurs sociaux qui savent dire en un texte toute une vie, en une rime toute l’émotion ou la souffrance d’un visage ; à ceux qui peuvent faire d’une tranche de vie une fresque lyricale et sonore au réalisme poignant, tout en laissant libre cours à l’imagination des auditeurs. Sans conteste possible, le rapper est le griot des temps modernes.




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merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii




رد: le rap

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رد: le rap

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رد: le rap

j’aime le rap (le rap americain)mais je prefere COUNTRY ,,,,,stp ecoute …..honor society – where are you now
merci




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